Au delà de ce que nous nommons aujourd'hui "maison" et de ce concept que nous lui attribuons suite à l'héritage de nos vocabulaires centrés sur les lois et raisons de la domestication (du latin domus: concept latin d'habitation familiale de l'antiquité romaine) c'est à dire de la domination des savoir-faires techniques de l'architecture humaine contre les savoirs faire techniques des vivants humains et de ceux des non humains, et qui suppose alors la vision d'un bâtit : des murs, de fenêtres et de portes fermée à clef, originellement, le mot οίκος raconte plutôt ce qui réunit l'attachement des êtres par des liens de parenté, de sororité, de voisinage, l'idée de partage et de transmission d'un patrimoine commun, notre manière de faire village, etc... en un milieu prêté parmi les ordres de classifications des mondes humlains et plus qu'humains (autres espèces, dieux, esprits et mythes).
Cette définition permet d'ouvrir notre regard sur les liens de notre espèce avec les potentiels cognitifs que révèlent les liens de notre microbiote attaché à notre cuisine, attachée à notre jardin "agriculturel", lui même relié au microbiote de notre plancher social qui régule la santé des relations que nous entretenons individuellement et socialement avec les autres espèces. Nous sommes reliés par une multitude de figures et de formes d'attachements interspécifiques, malheureusement, ceux-ci sont invisibilisés depuis plusieurs générations de civilisations humaines, par l'exécution de techniques humaines qui évitent les sensations, les émotions et les intuitions avec notre environnement et qui génèrent des formes d'obéissances aux politiques humaines placées contre l'expérience conviviale de vivre et d'agir ensemble.