"émergences, intelligences collectives"

Le projet est de créer des processus de création d'usages harmonieux, SOIGNER L'HUMAIN PAR LE VIVANT : il s'agit donc d'une méthodologie qui s'appuie sur une logique empruntée au Tao, le soin. Ce conditionnement est basé sur les inhibitions des usagers de la planète, de la crainte à la résistance, de la phobie à la fuite (instinct de survie), de la peur à la recherche ou à la création, du symptôme au stigmate, de la pollution à l'infection, de la maladie jusqu'à la mort ou bien à la rémission.

Mettre en place l'altérité en montant sur le ring, face à face au monde afin de favoriser et d'étendre un territoire de rencontre écosophique qui jonglera sur la définition de statuts : 

On passe de la position de l'habitant a celui de l'habité et vice versa.

Pour une société de soin.

CONTRIBUEZ AU NOUVEAU MONDE

Créons des écovillages

Pour entrer, choisissez votre "οίκος", et participez au projet

Une ou plusieurs οίκος sont susceptibles de vous intéresser, vous êtes architectes et habitants à la fois, vous pouvez aussi être urbaniste en associant les οίκος. À vous de jouer !

Toutes les manières de participer et de publier sont expliquées ici :




Entrez dans une nouvelle dimension du monde, un décentrement de la production et de la domination que désignera ce mouvement de l'art de vivre aujourd'hui parmi les vivants.

Voici une forme de technologie née pour nommer, désigner et interroger les codes sociétaux à partir des potentiels de sens perceptifs humains.

1ère loi

L'urgence de la production sociétive doit nommer les dimensions polylogues de l'esprit en relation à son voisin : au vivant.

2ème loi

L'imaginaire doit être conçu comme une île inconnue à l'intérieur de notre boîte crânienne avec le rêve comme intuition,

3ème loi

et avec l'utopie et l'uchronie comme forme de sauvetage humain.


Ce seront alors les réactions essentielles à la survie de l'espèce humaine qui permettront à l'humain de se désolidariser du phénomène de sa peur, de sa perte, de la domination.

BIENVENUE EN SUBLEARNING

Le sublearning, c'est écosophique, et donc cela vient interroger la notion d'apprentissage, de morale et d'éthique, c'est aussi bien l'étude des variétés de formes du vivant et des formes du non vivant que l'émotion de ses variétés pour saisir ce que disent les dialogues au creux de leurs frontières et ainsi comprendre la puissance de l'empathie et du soin à mettre en oeuvre pour sauver êtres et esprits. Panser, penser l'autonomie du vivant pour dialoguer et vivre avec. L'écologie du crâne humain est un devoir environnementale il exige la mise en oeuvre de l'épistémologie de la raison.


ICI on sous apprend, et on invoque le sous apprentissage : le sublearning pour soigner les usages.

C'EST QUOI ? Il s'agit de penser les possibles en construisant des modes d'accès  vers le soin.

Le sous apprentissage dénote l'idée que l'apprentissage est une forme désuète, et que nous nécessitons d'en étudier les contextes.
COMMENT ÇA MARCHE ? Le sous apprentissage est une méthodologie d'approche qui cherche à contacter l'essence de l'émerveillement comme productive de modes d'existence en altérité. Le sublearning compose avec la capacité d'élévations des dispositions sensorielles afin de ressentir et d'interagir au monde en privilégiant les supports de l'indéterminisme et de l'inscience : Déclassifier, sensorialiser, relier, textualiser ! C'est observer le monde en sortant de notre crâne, et considérer les sciences, la pensée comme des structures limitrophes de notre flexibilité cérébrale à saisir le monde.


Appel sublearning

...Pour beaucoup d'entre nous cette situation est nouvelle, inhabituelle, soudaine, injuste, inappropriée, inconfortable, cet état de confinement que la mise en évidence observable de l'état du réel de la santé publique choque et sidère, tout comme son drainage dans la mise en danger des professions forcées à exercer aux risques de leurs vies et de celle de leurs proches, qui est aussi caractéristique de l'illusion de confort du maintien du PIB... pour qui ? Auparavant nous étions parsemés sur des concepts identitaires de communs: de langues, de codes, d'humanismes, d'antispécisme....isolés depuis la dissémination de nos organes satellisés, isolés des informations et de nos différents types d'applications de modes de survies pour résister à un système malade. Pour d'autres d'entre nous, la situation était et est encore conventionnelle et débitrice de paix sociale... 

Appel sublearning

 Même si hier nous avions conscience de l'existence de l'injustice, du capitalisme, de la famine, des épidémies, des viols, des guerres, des génocides et des écocides, du réchauffement climatique, et de nos pieds englués pour tenter de moduler les barreaux des institutions depuis l'intérieur, tout en conservant un toit pour s'abriter des pluies acides d'insecticides, et d'OGM; avant le confinement, nous n'étions pas en capacité de concevoir la plasticité de nos modes de résistances, avant nous ne constations que les dégâts hiérarchiques et nous les contestions, et nous nous asphyxiions dans les brumes de lacrymos. Avant nous faisions des concessions, pour soigner "l'autre" toxique, cette prise d'otage de l'autre n'a plus de sens, la vigie surveillance (audio-vidéo-drone-application) est une contrainte dominatrice plus violente et actentielle, plus préhensible sur sa capacité de violation de nos libertés, que le double blind d'un conjoint ou d'un patron qui imite ce système. Nous pouvons nous sauver ! Mais surtout, nous pouvons faire le constat que l'empathie est essentielle à la vie, qu'elle est une arme personnelle pour nous protéger, nous soigner nous même. 

Aujourd'hui le confinement nous porte tous a être solastalgique et nostalgiques des visages libres, des épaules, des silhouettes, des câlins, des bisous, des arbres : C'est endocrinal. Aujourd'hui nous sommes tous orphelins, ce qui nous permet de saisir l'immensité du chaos dans lequel nous serons projetés demain, et donc les indispensables potentiels collaboratifs générateurs de poétiques à prononcer pour penser demain. A l'annonce petit à petit des restrictions alimentaires et de la mise en place de l'application mobile de surveillance épidémiologiques (en miroir d'un système de conditionnement autoritaire et totalitaire ), nous comprendrons vite l'idée d'habituation mise en place pour coordonner nos déplacements, nos usages, car nous auront aussi été bien sensibilisés aux séries Netflix ;)dont rappelons le : l'optique boursier est de déréguler nos métabolismes en inférent avec notre capacité d'attention, l'inhibition de notre système endocrinien engendrant dépendances, insomnies et diabète et obésité morbide...etc..., grâce à l'articulation de scénarios capitaloscéniques et anthropocentriques annihilant toute possibilité de cognitivisme communautaire et interespèce ;). Nous constaterons aussi à nouveaux le complexité du manque de tests, de masques et de protections. Ce sera encore un peu plus de visibilité sur la longue désappropriation des gestes et usages des soignants depuis 70 ans comme de nos relations et de nos rituels que nous entretenions aux morts.  


 Le cancer, la guerre, la domination, la domestication, l'esclavagisme, l'automatisme... sont des systèmes de production observables déterminant les polarités infiniment subtiles d'émergences de champs d'action de mise à mort d'une cellule, depuis la contamination indirecte de ses sols contingents, pour le covid, c'est la contamination dun virus sur les bactéries de notre microbiote.

La "maladie"comme l'alimentation, nomme l'énergie vitale que l'humain est en capacité de choisir de protéger ou bien de transformer, de conceptualiser ou d'alimenter, ou de "re-" ou sur- produire.

La concaténation de notre confinement sanitaire est enfin la naissance d'un couloir vers la mise en place des droits du vivant. Le renoncement d'un monde hors sol, pour conjuguer la grammaire générative de chemin d'affordances sur le dialogue avec l'énergie et l'arborescence des valeurs de l'inscience. 

 La perception aujourd'hui de l'écosystémie des milieux est une chance pour nos descendants, nous devons poursuivre sur le soin, le disséminer, que le soin n'ait plus de frontières de travail, ou d'homogénéité, s'inspirer de la biologie du virus en ré-institutionalisant le vivant (dont l'humain fait partie aussi) au centre des sociogonies d'hier vers le soin de la complexité des logos, des pharmakons, de la pluridisciplinarité de chacun pour agrandir l'espace d'existence de demain. Ce n'est toujours pas un discours "bisounours", c'est un appel à la plasticité de nos usages en considération des usagers de notre planète, car nous le savons, nous faisons aussi partie des espèces en voie d'extinction.  

Si vous avez eu la patience de lire jusqu'à la fin, que vous soyez en activité ou non, si vous souhaitez réaliser ou participer a des projets écosophiques, biomimétiques, depuis quelconque discipline (métier ou passion), je suis disponible pour créer des liens ou les motoriser en demandant de l'aide autour aussi :) vers les droits du vivant et le salaire universel :) c'est large et de tout âge ! En attendant d'être tous réunis en éco-villages ou en nomadisme.

Eve Poyet Caterin 

CONTACT EVE POYET CATERIN ev3g.lab@gmail.com
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